Alain Guyonnet, célibataire, père de deux filles Stella et Marina qui hantent quasiment ses rêves au quotidien.
Né à Genève, citoyen suisse d’origine française, Alain Guyonnet se lance dans la musique dès son plus jeune âge.
Revendiquant une approche de cet art en autodidacte (piano et guitare jazz, composition, arrangement), il entre néanmoins dans la classe de clavecin de Madame Isabelle Nef au conservatoire de Genève afin d’être au plus près de sa passion musicale : l’œuvre de J.S. Bach.
Dans le même temps, il se consacre à une autre passion : la musique de jazz qu’il entreprend de dévorer entre deux fugues du clavecin bien tempéré.
A la même période, à l’occasion d’une sorte de « défi amoureux » Alain Guyonnet se lance pendant trois ans dans l’étude de la flûte traversière, abandonnant ensuite cet instrument faute de temps, mais également ayant « égaré » l’inspiratrice du défi en question…
Un peu plus tard, il aborde l’enseignement de la musique de jazz sans grande conviction au début, préférant à l’époque jouer de la musique plutôt que de l’enseigner.
Mais, par la suite, il découvre petit à petit l’intérêt de cette discipline auprès des autres, mais également pour lui-même.
Alors, il met en place sa propre manière d’enseigner la musique de jazz, en favorisant plutôt le développement de l’oreille que la « comprenette » pour résumer.
Pour ce faire, il publie trois petits ouvrages :
Les places d’enseignement pour lesquelles Alain Guyonnet travaille, ou a travaillé sont :
Mais une grande partie des activités d’Alain Guyonnet concerne la composition et l’arrangement de la musique jazz.
Se rendant compte très tôt du peu de capacités de la Nature avait bien voulu lui accorder sur le plan de la technique instrumentale, Alain Guyonnet décide une belle nuit, de se vouer à l’écriture musicale.
« ce que je ne parviens pas à réaliser avec mes petits doigts, je l’écrirai, et d’autres le joueront… » décide-t-il à ce moment.
Et voilà.
A ce jour, 475 compositions et arrangements sont couchés sur le papier, plutôt orchestrés pour de grandes formations (quelques exemples de ce travail se trouvent à disposition sur le site).
Dans un autre domaine, Alain Guyonnet se targue volontiers « d’avoir en permanance plusieurs amantes… »
La musique bien-sûr, mais également la langue française, cette courtisane si merveilleusement insaisissable qu’il tente de séduire parfois, sans doute maladroitement mais avec une jouissance presque inavouable.
(voir textes, nouvelles, aphorismes)
Anecdote finale :
A la naissance de sa première fille, Alain Guyonnet décide qu’il serait bien inspiré de « faire quelque chose », si infime cela soit-il, « pour le monde dans lequel le petit être vient de débarquer ».
Armé de cette belle pensée il parvient à ce faire élire au conseil municipal de la ville de Genève sur la liste des verts…, réalisant du même coup un tour de force particulièrement absurde pour un citoyen : passer brutalement du stade d’abstentionniste (il ne votait pratiquement jamais avant son élection) à celui d’élu du peuple…
Mais bien évidemment la législature de l’époque de retiendra pas grand chose de la présence en son enceinte d’un artiste aussi peu aiguisé politiquement, et finalement Alain Guyonnet préférera retourner à sa passion de toujours : taquiner le bécarre.
Né à Genève, citoyen suisse d’origine française, Alain Guyonnet se lance dans la musique dès son plus jeune âge.
Revendiquant une approche de cet art en autodidacte (piano et guitare jazz, composition, arrangement), il entre néanmoins dans la classe de clavecin de Madame Isabelle Nef au conservatoire de Genève afin d’être au plus près de sa passion musicale : l’œuvre de J.S. Bach.
Dans le même temps, il se consacre à une autre passion : la musique de jazz qu’il entreprend de dévorer entre deux fugues du clavecin bien tempéré.
A la même période, à l’occasion d’une sorte de « défi amoureux » Alain Guyonnet se lance pendant trois ans dans l’étude de la flûte traversière, abandonnant ensuite cet instrument faute de temps, mais également ayant « égaré » l’inspiratrice du défi en question…
Un peu plus tard, il aborde l’enseignement de la musique de jazz sans grande conviction au début, préférant à l’époque jouer de la musique plutôt que de l’enseigner.
Mais, par la suite, il découvre petit à petit l’intérêt de cette discipline auprès des autres, mais également pour lui-même.
Alors, il met en place sa propre manière d’enseigner la musique de jazz, en favorisant plutôt le développement de l’oreille que la « comprenette » pour résumer.
Pour ce faire, il publie trois petits ouvrages :
- « une noire vaut deux dièses » (solfège rythmique)
- « vocabulaire de blues » (un ensemble de formules-type sur le blues, présenté dans trois tonalités différentes). « 6 petits blues pour les petites mains » (piano solo)
Les places d’enseignement pour lesquelles Alain Guyonnet travaille, ou a travaillé sont :
- l’AMR de Genève (directeur du big band, maître d’atelier)
- le CPM (chef d’un chœur d’enfants jazzy : le JECC ce qui veut dire Jazz-En-Culottes-Courtes) voir Cds du JECC dans ce site
- l’EJMA de Lausanne (autrefois)
- en privé (cours de piano jazz, composition, arrangement)
Mais une grande partie des activités d’Alain Guyonnet concerne la composition et l’arrangement de la musique jazz.
Se rendant compte très tôt du peu de capacités de la Nature avait bien voulu lui accorder sur le plan de la technique instrumentale, Alain Guyonnet décide une belle nuit, de se vouer à l’écriture musicale.
« ce que je ne parviens pas à réaliser avec mes petits doigts, je l’écrirai, et d’autres le joueront… » décide-t-il à ce moment.
Et voilà.
A ce jour, 475 compositions et arrangements sont couchés sur le papier, plutôt orchestrés pour de grandes formations (quelques exemples de ce travail se trouvent à disposition sur le site).
Dans un autre domaine, Alain Guyonnet se targue volontiers « d’avoir en permanance plusieurs amantes… »
La musique bien-sûr, mais également la langue française, cette courtisane si merveilleusement insaisissable qu’il tente de séduire parfois, sans doute maladroitement mais avec une jouissance presque inavouable.
(voir textes, nouvelles, aphorismes)
Anecdote finale :
A la naissance de sa première fille, Alain Guyonnet décide qu’il serait bien inspiré de « faire quelque chose », si infime cela soit-il, « pour le monde dans lequel le petit être vient de débarquer ».
Armé de cette belle pensée il parvient à ce faire élire au conseil municipal de la ville de Genève sur la liste des verts…, réalisant du même coup un tour de force particulièrement absurde pour un citoyen : passer brutalement du stade d’abstentionniste (il ne votait pratiquement jamais avant son élection) à celui d’élu du peuple…
Mais bien évidemment la législature de l’époque de retiendra pas grand chose de la présence en son enceinte d’un artiste aussi peu aiguisé politiquement, et finalement Alain Guyonnet préférera retourner à sa passion de toujours : taquiner le bécarre.